En grande majorité, les photographies de cette série ont été prises à Paris entre septembre 2018 et janvier 2019, la plupart du temps au gré de balades.
Le point commun à toutes ces images est l’individu. Je peux même dire que la série traite des Parisiens au quotidien. Il n’y a pas d’autre dénominateur commun à l’ensemble.
Dans l’absolu, mon regard ne se porte pas sur une catégorie particulière de personnes. Je n’ai pas de type de prédilection.
Si mon appareil photo avait la parole, il parlerait à tout le monde. Circulant dans l’immense labyrinthe de bêton, d’acier et de verre, il serait un gavroche vif et observateur. Il verrait la ville et ses habitants comme un théâtre aux mille expressions. Insouciant, il se nourrirait de ce spectacle incessant et photographierait d’amour et d’eau fraiche.